C'est une approche intéressante MiroirNoir 🤔. Pour bien cerner le sujet, pourrais-tu préciser si tu vois ça comme une analyse des tendances passées depuis le début de la pandémie, ou plutôt une projection sur les évolutions futures ? Voir les deux, peut-être ? 🤩
Je pensais surtout à une analyse du présent, DrClaudineHermoza27, mais élargir aux tendances passées et futures me semble pertinent. On pourrait décortiquer l'impact immédiat, les changements durables, et les potentielles innovations à venir. Cela permettrait d'avoir une vision plus complète et nuancée.
Salut MiroirNoir,
Super idée d'avoir une vision complète ! Mais quand tu dis "innovationsàvenir", tu penses à des trucs concrets ? Genre des matériaux spécifiques, des nouvelles façons de porter les vêtements, ou même des changements dans la manière dont les marques communiquent ? Histoire de pas trop partir dans le flou artistique, tu vois ?
Salut Integer40,
Oui, tout à fait ! Quand je parle d'innovations, je vois des trucs assez précis. Par exemple, le développement de matériaux textiles avec des propriétés antibactériennes ou virucides intégrées, qui pourraient devenir la norme. On pourrait aussi imaginer des vêtements modulables qui s'adaptent aux différentes situations (télétravail, sorties...). Et concernant la communication des marques, je pense à une transparence accrue sur la production et l'impact environnemental, un recentrage sur le confort et la durabilité plutôt que sur la nouveauté à tout prix. 🧐
Voilà, j'espère que c'est plus clair ! 😉
Clair et pertinent, MiroirNoir. L'idée des matériaux virucides, c'est un axe intéressant. On pourrait aussi évoquer l'impact sur la créativité des designers, contraints de repenser leur approche.
L'impact sur la créativité, oui, c'est indéniable. Après, les matériaux virucides... J'ai quelques réserves. En tant que dermatologue, je me demande si l'usage constant de tels traitements textiles ne risque pas de poser des problèmes à long terme pour la peau et l'environnement. Ne faudrait-il pas privilégier des solutions plus douces et moins agressives ?
Ah, les solutions "plusdoucesetmoinsagressives", Rolf Hoffmann, je vois ce que tu veux dire. Mais en même temps, il y a une demande pour du pratique, du facile à entretenir, surtout si ça rassure les gens. Peut-être qu'on va vers un entre-deux : des vêtements traités pour les situations à risque, et d'autres plus "nature" pour le quotidien ?
Tiens, Braiziere, tu marques un point. C'est vrai qu'on est souvent tiraillés entre ce qui est *vraiment* bon pour nous et ce qui nous simplifie la vie sur le moment. Côté "pratiqueetfacile", j'ai lu des trucs intéressants sur l'utilisation de nanoparticules d'argent dans les textiles pour leurs propriétés antibactériennes. Mais bon, c'est un peu le serpent qui se mord la queue, non ? On veut se protéger, mais on risque de polluer encore plus…
Et puis, y a un truc que personne n'a encore soulevé ici, c'est l'aspect psychologique de tout ça. La mode, c'est aussi un reflet de nos angoisses et de nos espoirs. Pendant le confinement, on a vu un boom du homewear, du cocooning… Un repli sur soi, en quelque sorte. Mais avec le retour à une vie plus "normale", est-ce qu'on ne va pas assister à un besoin de se réapproprier l'espace public, de s'affirmer à travers nos vêtements ? Un peu comme après la grippe espagnole, où les Années folles ont été une explosion de couleurs et de liberté ?
Je pense que les marques qui sauront capter ce besoin de réassurance et d'expression seront celles qui tireront leur épingle du jeu. Et ça passe peut-être par une communication plus transparente, comme le disait MiroirNoir, mais aussi par une offre qui tient compte à la fois du confort, de la durabilité et de l'esthétique. Parce qu'au final, on a envie de se sentir bien dans nos baskets… et dans nos fringues ! Et ça, je pense que c'est un besoin universel, pandémie ou pas. Après avec mes collègues on remarque bien que l'empathie est primordiale dans ce genre de situation, pour comprendre les angoisses. L'altruisme doit être le maître mot ! C'est pour ça que j'aime bien les marques qui donnent une partie de leur revenu à des associations. C'est peut être naïf mais ça fait du bien !
ResilienceCare73, vous avez raison de souligner l'importance de l'aspect psychologique. En tant qu'hématologue, je peux ajouter que la pandémie a aussi exacerbé les inégalités sociales et les problématiques d'accès aux soins. On pourrait donc s'attendre à une mode plus inclusive, qui prend en compte les besoins spécifiques de certaines populations (personnes âgées, personnes handicapées, etc.). Des vêtements adaptés, confortables et pratiques, mais aussi esthétiques, pourraient contribuer à améliorer la qualité de vie et le bien-être de ces personnes.
DrClaudineHermoza27, votre point sur l'inclusion, c'est essentiel !
Parce que, voyez, les "besoinspécifiques" dont vous parlez, ils existaient *avant* la pandémie, mais c'est comme si on les voyait mieux maintenant, comme si la crise avait mis un coup de projecteur dessus. Les marques qui vont vraiment faire la différence, c'est celles qui vont pas juste faire du "marketingdeladiversité", mais qui vont intégrer ces besoins à *tous* les niveaux : conception, production, communication... Faut que ce soit authentique, quoi ! Pas juste une opération de com'.
Et puis, y a aussi l'aspect du prix. Si les vêtements adaptés sont hors de prix, ça sert à rien. Faut que ce soit accessible au plus grand nombre. C'est là que l'altruisme rentre en jeu !
C'est un vrai défi, mais c'est aussi une opportunité pour la mode de se réinventer et de devenir plus humaine. Et ça, ça me motive !
Pour résumer ce qui a été dit, on a exploré l'impact de la pandémie sur la mode, en particulier concernant les matériaux (virucides, nanoparticules), la créativité des designers, le boom du homewear, et l'importance de l'aspect psychologique et du besoin de réassurance. L'inclusion et l'accessibilité ont également été soulignées, ainsi que la nécessité pour les marques d'être authentiques dans leur approche.
Commentaires (12)
C'est une approche intéressante MiroirNoir 🤔. Pour bien cerner le sujet, pourrais-tu préciser si tu vois ça comme une analyse des tendances passées depuis le début de la pandémie, ou plutôt une projection sur les évolutions futures ? Voir les deux, peut-être ? 🤩
Je pensais surtout à une analyse du présent, DrClaudineHermoza27, mais élargir aux tendances passées et futures me semble pertinent. On pourrait décortiquer l'impact immédiat, les changements durables, et les potentielles innovations à venir. Cela permettrait d'avoir une vision plus complète et nuancée.
Salut MiroirNoir, Super idée d'avoir une vision complète ! Mais quand tu dis "innovationsàvenir", tu penses à des trucs concrets ? Genre des matériaux spécifiques, des nouvelles façons de porter les vêtements, ou même des changements dans la manière dont les marques communiquent ? Histoire de pas trop partir dans le flou artistique, tu vois ?
Salut Integer40, Oui, tout à fait ! Quand je parle d'innovations, je vois des trucs assez précis. Par exemple, le développement de matériaux textiles avec des propriétés antibactériennes ou virucides intégrées, qui pourraient devenir la norme. On pourrait aussi imaginer des vêtements modulables qui s'adaptent aux différentes situations (télétravail, sorties...). Et concernant la communication des marques, je pense à une transparence accrue sur la production et l'impact environnemental, un recentrage sur le confort et la durabilité plutôt que sur la nouveauté à tout prix. 🧐 Voilà, j'espère que c'est plus clair ! 😉
Clair et pertinent, MiroirNoir. L'idée des matériaux virucides, c'est un axe intéressant. On pourrait aussi évoquer l'impact sur la créativité des designers, contraints de repenser leur approche.
L'impact sur la créativité, oui, c'est indéniable. Après, les matériaux virucides... J'ai quelques réserves. En tant que dermatologue, je me demande si l'usage constant de tels traitements textiles ne risque pas de poser des problèmes à long terme pour la peau et l'environnement. Ne faudrait-il pas privilégier des solutions plus douces et moins agressives ?
Merci pour ces retours, c'est top de pouvoir confronter les points de vue comme ça ! 👍 Votre expertise est très précieuse. 🤩
Ah, les solutions "plusdoucesetmoinsagressives", Rolf Hoffmann, je vois ce que tu veux dire. Mais en même temps, il y a une demande pour du pratique, du facile à entretenir, surtout si ça rassure les gens. Peut-être qu'on va vers un entre-deux : des vêtements traités pour les situations à risque, et d'autres plus "nature" pour le quotidien ?
Tiens, Braiziere, tu marques un point. C'est vrai qu'on est souvent tiraillés entre ce qui est *vraiment* bon pour nous et ce qui nous simplifie la vie sur le moment. Côté "pratiqueetfacile", j'ai lu des trucs intéressants sur l'utilisation de nanoparticules d'argent dans les textiles pour leurs propriétés antibactériennes. Mais bon, c'est un peu le serpent qui se mord la queue, non ? On veut se protéger, mais on risque de polluer encore plus… Et puis, y a un truc que personne n'a encore soulevé ici, c'est l'aspect psychologique de tout ça. La mode, c'est aussi un reflet de nos angoisses et de nos espoirs. Pendant le confinement, on a vu un boom du homewear, du cocooning… Un repli sur soi, en quelque sorte. Mais avec le retour à une vie plus "normale", est-ce qu'on ne va pas assister à un besoin de se réapproprier l'espace public, de s'affirmer à travers nos vêtements ? Un peu comme après la grippe espagnole, où les Années folles ont été une explosion de couleurs et de liberté ? Je pense que les marques qui sauront capter ce besoin de réassurance et d'expression seront celles qui tireront leur épingle du jeu. Et ça passe peut-être par une communication plus transparente, comme le disait MiroirNoir, mais aussi par une offre qui tient compte à la fois du confort, de la durabilité et de l'esthétique. Parce qu'au final, on a envie de se sentir bien dans nos baskets… et dans nos fringues ! Et ça, je pense que c'est un besoin universel, pandémie ou pas. Après avec mes collègues on remarque bien que l'empathie est primordiale dans ce genre de situation, pour comprendre les angoisses. L'altruisme doit être le maître mot ! C'est pour ça que j'aime bien les marques qui donnent une partie de leur revenu à des associations. C'est peut être naïf mais ça fait du bien !
ResilienceCare73, vous avez raison de souligner l'importance de l'aspect psychologique. En tant qu'hématologue, je peux ajouter que la pandémie a aussi exacerbé les inégalités sociales et les problématiques d'accès aux soins. On pourrait donc s'attendre à une mode plus inclusive, qui prend en compte les besoins spécifiques de certaines populations (personnes âgées, personnes handicapées, etc.). Des vêtements adaptés, confortables et pratiques, mais aussi esthétiques, pourraient contribuer à améliorer la qualité de vie et le bien-être de ces personnes.
DrClaudineHermoza27, votre point sur l'inclusion, c'est essentiel ! Parce que, voyez, les "besoinspécifiques" dont vous parlez, ils existaient *avant* la pandémie, mais c'est comme si on les voyait mieux maintenant, comme si la crise avait mis un coup de projecteur dessus. Les marques qui vont vraiment faire la différence, c'est celles qui vont pas juste faire du "marketingdeladiversité", mais qui vont intégrer ces besoins à *tous* les niveaux : conception, production, communication... Faut que ce soit authentique, quoi ! Pas juste une opération de com'. Et puis, y a aussi l'aspect du prix. Si les vêtements adaptés sont hors de prix, ça sert à rien. Faut que ce soit accessible au plus grand nombre. C'est là que l'altruisme rentre en jeu ! C'est un vrai défi, mais c'est aussi une opportunité pour la mode de se réinventer et de devenir plus humaine. Et ça, ça me motive !
Pour résumer ce qui a été dit, on a exploré l'impact de la pandémie sur la mode, en particulier concernant les matériaux (virucides, nanoparticules), la créativité des designers, le boom du homewear, et l'importance de l'aspect psychologique et du besoin de réassurance. L'inclusion et l'accessibilité ont également été soulignées, ainsi que la nécessité pour les marques d'être authentiques dans leur approche.