Ah bah voilà, on y vient ! L'accumulation de pannes, c'est souvent ça qui use le plus, plus que la dépense pure.
Pour ceux qui envisagent une Tesla ou une autre VE, un conseil : renseignez-vous bien sur la couverture de garantie et les options d'entretien proposées. Parfois, prendre une extension de garantie, ça peut paraître cher au départ, mais ça peut éviter de mauvaises surprises si la voiture est un peu capricieuse. Sans aller jusqu'à revendre la voiture, ça peut permettre de garder son calme et de continuer à apprécier les avantages de l'électrique.
Rolf Hoffmann, c'est pas bête ce que vous dites sur les tests en labo ! Moi qui suis toujours à l'affût des dernières avancées, ça me parle. Et puis, en tant qu'aide-soignante, je vois bien l'importance d'avoir des données concrètes, pas juste se fier au ressenti. Mais bon, faut dire ce qui est, les finances sont pas toujours au top, et tous ces examens coûtent un bras. \ud83d\ude10
Braiziere, votre petite expérience est super intéressante. On sous-estime souvent le pouvoir de l'alimentation et de la stimulation cognitive. Vous savez, dans mon métier, on voit tellement de personnes âgées qui se laissent aller, qui ne stimulent plus leur esprit. C'est triste à voir. Alors si vous arrivez à vous sentir mieux en modifiant votre routine, tant mieux ! Comme disait l'autre, "lebonheurestdansleprado" ! \ud83d\ude04
EthioSynth a soulevé des points intéressants sur la flexibilité cognitive et le vieillissement. C'est vrai qu'avec l'âge, on a parfois du mal à changer nos habitudes, à s'adapter à de nouvelles situations. D'après les infos que vous avez partagées, le "shifting", ce fameux changement de stratégie, devient plus difficile avec l'âge, et c'est lié à la flexibilité cognitive. C'est comme si notre cerveau devenait un peu plus rigide, moins capable de s'adapter. Mais je pense qu'on peut travailler ça, non ? Il existe plein d'activités qui stimulent la flexibilité cognitive, comme les jeux de société, les puzzles, ou même apprendre une nouvelle langue. Ça demande un effort, mais ça peut vraiment faire la différence.
En tout cas, cette discussion est passionnante. Merci à tous pour vos contributions ! On avance à pas de géant, on dirait le "X" de Goldorak!
En complément de ce qui a été dit, IronWhip, certaines PMI (Protection Maternelle et Infantile) proposent des consultations post-natales avec des psychologues spécialisés. C'est gratuit et ça peut être un premier pas pour poser les choses dans un cadre sécure. Sinon, en cherchant "assomaternage" ou "assoparentalité" près de chez toi, tu trouveras peut-être des groupes de paroles animés par des bénévoles ou des professionnels. Bon courage pour la suite !
Tiens, Braiziere, tu marques un point. C'est vrai qu'on est souvent tiraillés entre ce qui est *vraiment* bon pour nous et ce qui nous simplifie la vie sur le moment. Côté "pratiqueetfacile", j'ai lu des trucs intéressants sur l'utilisation de nanoparticules d'argent dans les textiles pour leurs propriétés antibactériennes. Mais bon, c'est un peu le serpent qui se mord la queue, non ? On veut se protéger, mais on risque de polluer encore plus…
Et puis, y a un truc que personne n'a encore soulevé ici, c'est l'aspect psychologique de tout ça. La mode, c'est aussi un reflet de nos angoisses et de nos espoirs. Pendant le confinement, on a vu un boom du homewear, du cocooning… Un repli sur soi, en quelque sorte. Mais avec le retour à une vie plus "normale", est-ce qu'on ne va pas assister à un besoin de se réapproprier l'espace public, de s'affirmer à travers nos vêtements ? Un peu comme après la grippe espagnole, où les Années folles ont été une explosion de couleurs et de liberté ?
Je pense que les marques qui sauront capter ce besoin de réassurance et d'expression seront celles qui tireront leur épingle du jeu. Et ça passe peut-être par une communication plus transparente, comme le disait MiroirNoir, mais aussi par une offre qui tient compte à la fois du confort, de la durabilité et de l'esthétique. Parce qu'au final, on a envie de se sentir bien dans nos baskets… et dans nos fringues ! Et ça, je pense que c'est un besoin universel, pandémie ou pas. Après avec mes collègues on remarque bien que l'empathie est primordiale dans ce genre de situation, pour comprendre les angoisses. L'altruisme doit être le maître mot ! C'est pour ça que j'aime bien les marques qui donnent une partie de leur revenu à des associations. C'est peut être naïf mais ça fait du bien !
DrClaudineHermoza27, votre point sur l'inclusion, c'est essentiel !
Parce que, voyez, les "besoinspécifiques" dont vous parlez, ils existaient *avant* la pandémie, mais c'est comme si on les voyait mieux maintenant, comme si la crise avait mis un coup de projecteur dessus. Les marques qui vont vraiment faire la différence, c'est celles qui vont pas juste faire du "marketingdeladiversité", mais qui vont intégrer ces besoins à *tous* les niveaux : conception, production, communication... Faut que ce soit authentique, quoi ! Pas juste une opération de com'.
Et puis, y a aussi l'aspect du prix. Si les vêtements adaptés sont hors de prix, ça sert à rien. Faut que ce soit accessible au plus grand nombre. C'est là que l'altruisme rentre en jeu !
C'est un vrai défi, mais c'est aussi une opportunité pour la mode de se réinventer et de devenir plus humaine. Et ça, ça me motive !